admin: Preston Falconeri

Fiche de présentation




Faction: Mafioso
Nom: Falconeri
Prénom: Preston
Age: 35 ans
Surnom: Capo di Tutti i Capi
Date de naissance: 30 décembre 1973
Lieu de naissance: Syracuse, Sicile
Sexe: féminin masculin
Origines: Sicilien
Groupe sanguin: AB-
fonction dans la «famille» si vous en faites partis: Grand Manitou de la Cosa Nostra



Votre père: Fabrizio Falconeri, ancien Don de la Cosa Nostra, une main de fer dans un gant de fer, ni plus, ni moins. Mort il y à déjà 10 ans à l'âge de 46 ans, tué d'un balle dans la tête par les Russes.
Votre mère: Maria Anna Corleone Falconeri, 52 ans. Gère les finances de son fils, cloitrée dans son deuil à la villa Falconeri, à Syracuse. Elle n'est jamais venue voir son fils aux Etats-Unis et ne le désire pas plus aujourd'hui qu'il y à dix ans.
Frères/soeurs: Umberto Falconeri, 26 ans. Jeune recrue, il est à un niveau déjà honorable dans la famille grâce à son père. Il est insupportablement juvénil et un coureur de jupons avéré.



Votre apparence physique:

Preston est brun aux yeux gris. Il tient la couleur peu commune de ses yeux de son arrière grand-mère qui avait du sang irlandais. Les cheveux courts, rarement coiffés, le regard assasin, il à l'allure d'un homme ténébreux, plutôt mystérieux et pas vraiment sympatique. Il mesure 1m90, taille plutôt respectable, propre sur lui du bas de ses pompes de luxes vernies jusqu'au bout de son cigar de marque. Il n'est pas particulièrement beau, comme le sont certains de ses amis, mais à un charme difficilement évitable, et c'est justement ce charisme qui fait de lui un homme que les femmes apprécient. Rictus provocateur, regard méprisant, une bouffée de son cigard et les femmes lui tombaient littéralement dans les bras comme des gazelles sans défense. Ho évidement elles commençaient toutes par le détester, mais ne pouvaient résister bien longtemps.

Son visage est étroit, le menton carré avec généralement une légère barbe, les paumettes hautes. Il à une carrure plutôt frèle, comme un gosse trop vite grandi. Son manque apparent de muscle, il le compense évidement par une présence qui force le respect et un beau Smith et Wesson calibre 4.5 très respectable aussi. Don Falconeri à de grandes mains, fines, aux gestes précis, et est très soigneux de son apparence. Il aime rester "cool" en toute circonstances et perd rarement de sa superbe, même dans les situations les plus problématiques.

Style vestimentaire:

Des costumes de grandes marques, sombres généralement, parfois à fines rayures - pour la classe - même si cela fait très cliché de rital mafieux. Costumes donc, avec généralement des chaussures vernies d'un prix exhorbitant, et une montre en argent très clinquante au poignet droit. Preston sait que dans le monde ou il vit, l'apparence permet de dominer, et il se plie volontier aux dictats de cette mode. Le truc de celui qui commande ? Être cool. La classe, le style, rien d'autre.

Signes particuliers:

Comme beaucoup de membres de la Cosa Nostra, Preston possède pas mal de tatouage, en rapport avec son rôle de chef. Ainsi il à les mots Cosa Nostra de tatoués, le mot Cosa sur le dos de sa main droite et Nostra sur le dos de sa main gauche. Un lettrage de 10 cm de largeur parcours son torse en grosses lettres majuscules, indiquant aux autres " Memento Audere Semper ", signifiant " Souviens toi de toujours oser ". Enfin, sa cuisse droite est ornée d'un ange portant un drapeau Sicilien d'une main et une balance de l'autre, comme une Justice façon mafia.
Preston à également un handicap du à une balle de gros calibre dans le mollet: il boite légèrement. A cause de cela il ne peux pas escalader des hauteurs ou courir trop vite. Il à du mal à marcher trop longtemps.

Votre caractère:

Preston est un homme en apparence jovial, sympatique aussi bien avec sa famille qu'avec ses sous-fifres. Redoutable homme d'affaire, il gère celles de la Cosa Nostra avec brio, déplaçant l'argent comme un fantôme, intriguants et supprimants les obstacles avec un flegme terrifiants. En effet, sous la facade gentillette se cache un véritable tueur, aussi froid et calculateur qu'un requin. Il menace, il torture, son sourire méchant sur le visage comme un reste de bonne manière. Il fume comme un pompier cela dit, même si cela n'est pas une habitude noble.

Il hait les gens qui le contredisent, il hait les gens qui essayent de le manipuler. Il est lucide sur son époque, n'a aucune illusion et est près à tuer père et mère pour une poignée d'argent. Ne vous fiez donc pas à ses " Haaa cher ami, vient près de moi prendre un verre ! ", car si vous êtes sur sa liste noire, vous avez de fortes chances de finir la tête dans une poubelle et le corps à la surface de l'atlantique, criblé de balles. Preston aime par dessus son pouvoir, et fera tout pour le garder: il tire une fiertée sans pareil de ses origines et du siège de patron de la Cosa Nostra qu'il tient de son père et qu'il gagné à force de ruses et de tueries.
Les parties de cache-cache avec le F.B.I ? Cela l'amuse terriblement. Il est convaincu d'être invincible, et jusqu'à maintenant rien ne lui à donné tord. La tendance s'inversera peut-être, mais cela fait déjà dix ans qu'il sème la terreur dans les gangs de New York. Preston est un homme également très concsiencieux et méfiant: il ne laisse personne s'occuper de ses petites affaires ou de ses règlements de comptes personnels, partant du principe que l'on est jamais mieux servi que par soit-même. Il bois dans une flasque qu'il rempli lui-même et poussa la paranoïa à payer des gens pour espionner les gens qui sont à son service: espions des espions de la Cosa Nostra, autant que l'on puisse en juger. Il à la réputation d'être un paranoïaque fou dangereux et ses hommes lui vouent un culte profondément respectueux.

Votre orientation sexuelle:

Hétérosexuel. Preston est relativement ouvert de pensé et se fou de savoir ce que font de leur cul les gens qui sont à son service.

But dans l'existence,vos désirs,vos envies plus ou moins cachés:

Son but ? Rester plein aux as jusqu'à la fin de ses jours et poursuivre son existance telle qu'elle est. Il aime l'adrénaline que le danger lui procure et il aime son statut de fugitif meurtrier. Il n'échangerai sa place pour rien au monde. Son seul désir, inavoué, est de se trouver une petite femme et d'avoir des enfants. Bah, en attendant il aime aussi fréquenter les boites de strip-tease.

Vous en société:

Irréprochable, terrible, amical, effrayant, vindicatif, éxigeant et charismatique. Preston sait se servir de ses atouts, aime diriger les autres et reste le chef en toute circonstance.

Vos Possessions:

-> Un beau Smith et Wesson calibre 4.5. Son favori, il le possède depuis son entrée dans la Cosa Nostra, comme cadeau de bienvenue de la part de papa Falconeri.

Spoiler:

-> Un chapelet qu'il tient de sa grand-mère. Preston le garde en permanence sur lui, dans la poche intérieure de sa veste.

Spoiler:

-> Une Dodge Challenger de 1972. SA voiture, qu'il aime autant qu'une femme et qu'il bichonne comme un joyaux.

Spoiler:

" Ave, o Maria, piena di grazia,
il Signore è con te.
Tu sei benedetta fra le donne
e benedetto è il frutto del seno tuo, Gesù.
Santa Maria, Madre di Dio,
prega per noi peccatori,
adesso e nell'ora della nostra morte.
Amen. "

(...)

Un flingue sur la tempe, Tony eu un hoquet entre ses pleurs. Oui, il pleurait souvent en ce moment. Don Falconeri eu un sourire amusé tandis qu'il s'accroupissait en face de lui - qui était à genoux par terre - en tenant toujours son beau Smith et Wesson sur la tempe de ce dernier. Il hocha la tête d'un air dubitatif.

- Tony, Tony... Vois ce que tu me pousses à faire. De la drogue, rien d'autre. Est-ce que ça valait le coup ? De me voler ?
- Monsieur... s'il vous. vous plais. C'était stupide j'ai eu tord.

Preston accentua son sourire carnassier avant d'appuyer ostensiblement plus fort le canon de son arme contre la tempe de Tony, histoire de le faire bisquer encore un peu. Il se releva d'un geste leste, tenant son sous-fifre toujours en joue, puis se baissa vers lui en le regardant droit dans les yeux.

- Tu as merdé Tony. Tu sais ce que je fais aux loosers ? Aux putain de pique-assiètes qui me prènnent pour un débile ? Je les butes Tony ! Hein !

Le Don se signa, en levant les yeux vers le ciel, puis appuya sur la détente sans autre préavis. Il s'en tira pour une miniscule éclaboussure de sang sur son veston ( grâce à son calcul de la trajectoire de la cervelle dans la pièce,) et retourna s'asseoir dans son grand fauteuil en cuir, tout en haut d'une tour en verre de 80 étages. Là, il repris le verre de whisky qu'il avait abandonné sur le guéridon à l'arrivée de son ami et y posa son arme à la place. Preston ne souriait plus, il regardait le corps, rêveur, le dos tourné à l'immense baie vitrée donnant sur tout New York. Il faisait tourner le liquide ambré dans son verre et des pensées lointaines lui revinrent.

(...)

Preston était né en 1973, c'était certain, un 30 décembre, même. Mais comment se souvenir d'une période aussi lointaine, surtout lorsque l'on à pas développé ne serait-ce que la moitié de ses facultés intellectuelles ? Impossible, voila tout. Le souvenir le plus lointain que possédait le Don était celui de ses six ans, lorsqu'il faisait de la balancoire avec son père. Fabrizio en costume à fines rayures, un flingue dans un hostler sous sa veste, pas du tout déplacé dans un jardin d'enfant. Tout allait bien jusqu'à ce que deux de ces hommes déposent devant lui un mec salement amoché, une mitraillette pointée sur lui. Preston ne se rappelle pas de tout, mais se souvient très bien de la colère de son paternel envers ses amis: ils étaient censés lui amener au bureau, pas devant son fils.

Il avait encore des tonnes de souvenirs de ce genre, plus ou moins flous dans sa mémoire. Il se rappelait de son père, sévère et froid, presque jamais là, et sa mère soumise comme un animal de compagnie, ne se permettant qu'un " Santa Maria " pour toute réponse et quelque soit la question. Ha oui, le catholicisme était leur chemin de croix, un rosaire tout les soirs et un petit crucifix en pendentif pour les mioches. Preston l'avait d'ailleurs toujours autour du cou, ce jésus martyr en argent massif.

Depuis son plus jeune âge il jouait avec les jumeaux Mastriani. Ils étaient de dix ans plus jeunes que lui mais Preston avait toujours trouvé Aliénor adorable. Elle était si jeune, néanmoins, qu'il ne préférait pas la courtiser, et s'amusait à la voir batifoler avec des hommes de l'âge de son père.

Le souvenir le plus marquant de vie fut surement celui de son engagement dans la Cosa Nostra. Il avait 18 ans et fut pris directement, sans même une seule discussion ou avis négatif: personne ne pouvais contredire l'entrée du fils de Fabrizio, évidement. Preston prêta serment, et se fit faire son premier tatouage en signe d'amour de la Cosa Nostra. La pièce ou on lui donna son premier meutre à exécuter était sombre, sentait la lessive et l'alcool. Il s'en souvient comme si c'était hier. Son père et deux autres hommes se tenait devant lui avec une pille de dossier, en lui désignant le mort ambulant: un type de la police, un commissaire. Pour lui ce fut sans problème. Il pris une carabine avec silencieux, se plaça sur un toit bien à l'éccart et canarda le mec qui ne se doutait de rien bien proprement. Ce soir là à la maison il y eu une fête et on sabra le champagne. Ouai... chaque famille à ses traditions, hein.

Ha et plus tard encore, un autre souvenir, douloureux cette fois. Elle s'appelait Isabelle Mazzoni. Elle avait 24 ans et lui venait d'accéder au poste de feu Fabrizio Falconeri. Il se souvient encore de sa fougue, de son amour, il se souvient de la trahison qu'elle lui offrit en retour, et des conséquences que cela engendra.
En effet, ils auraient du se marier bientôt, ils étaient fiancés. Isabelle n'était pas de la Cosa Nostra, mais son statut d'italienne lui permettait d'entrer dans la famille. Tout allait très bien jusqu'au jour ou elle vit par malchance Preston en plein interrogatoire, sa victime baignant dans son propre sang. Vous savez comment sont les jeunes de nos jours, avec leur valeurs humaines à la con ? Leur tendance sociale les pousses à ne pas accepter ce genre de méthode. Pf !
Ainsi Isabelle se plaça en informateur anonyme, et les flics débarquèrent dans l'immeuble ou se produisait la discussion. Le mec était mort de ses blessures et Preston fut arrêté. Une semaine plus tard il avait payé la caution, gagné son procès grâce à un avocat malintentionné et nargué le chef de la police avec son sourire moqueur.
Ce fut alors qu'une discussion avec sa tendre amie s'engagea, en haut d'une tour d'habitation à loyer modéré, dans Harlem. La jeune femme grelotait de froid dans sa petite robe à fleurs, et Preston prenait plaisir à la regarder, son flingue pointé sur elle. Il la pris par la taille, la tournant vers le bord de l'immeuble, et pressait son arme contre sa tempe. Son visage était tout près du sien, et il lui sussurait des mots doux dans les courants d'air glacés qui les traversaient.

- Isabelle... Amour... Tu m'as vraiment déçu. Vraiment.
- Preston, écoute moi. Je t'en pris. J'ai eu peur c'est tout. Relâche moi.
- Tututut. Tu n'as peur de rien. Preuve en est que tu à faillis me faire prendre perpet pour tes beaux yeux. Non... je crois juste que tu ne savais pas comment rompre proprement. Ou que tu ne savais pas que ma pitié à des limites.
- No-on Preston, ne fais pas ça.
- Ti amo bella...
Le corps ensanglanté de la belle Isabelle fut emmené deux heures plus tard par une patrouille de flics.

(...)

Que de bons souvenirs ! Preston aimait ouvrir le dossier nostalgie lorsqu'il se retrouvait seul.
Il reposa son verre pour appeler son homme de main Giscardo avec son téléphone portable. Il décrocha presque immédiatement et Preston eu de nouveau son si terrible sourire.

- Ramènes toi. J'ai de la merde à te faire nettoyer ici. Tu balais le tout et tu m'envoie ça chez Luciano des Pompes Funèbres. Pronto.

Oui, Preston était le chef, et il entendait bien le rester.

(...)

HRPG:

Surnom,pseudo,prénom au choix: Mister J.
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Comment avez-vous découvert le forum? Haha
Personne sur votre avatar : Edward Norton
Un truc à dire?:[/b] Put your hands up !