Preston Falconeri Admin - Capo di Tutti i Capi
Nombre de messages : 34 âge du perso : 35 Photo d\\\'identité : Date d'inscription : 31/10/2008
C.V Etat civil: Mafieu Relationship:
| Sujet: Hiérarchies Mar 4 Nov - 15:13 | |
| Mafia Italienne ( idem Mafia Russe et Irlandaise ): Capo di Tutti i Capi (le « Patron de tous les patrons »), à savoir Don Falconeri pour la Cosa Nostra.
Capo di Capi Re (un titre de respect donné à un ainé ou un membre retraité, un équivalent devient un membre émérite, littéralement, « Le patron roi des patrons »).
Capo Crimine (« Patron du crime », connu comme Parrain — la tête d’une famille du crime)
Capo Bastone (La tête de battement », connu comme le « Underboss » est deuxième à la tête du Capo Crimine)
Consigliere (un conseiller, le plus souvent un avocat)
Caporegime (Chef de Régime », un capitaine qui ordonne une équipe d’une dizaine de Sgarriste ou Soldats.)
Sgarrista ou Soldati (« Soldat », membres de la mafia qui sert principalement comme soldats.)
Picciotto (« Petit homme », un niveau bas qui sert de gros bras)
Parrain (un membre associé, d’habitude, il n’est pas Italien ou d’ancêtre sicilien.)
Ou aussi :
Capofamiglia — (Don) Consigliere — (Conseille) Sotto Capo — (Sous-patron) Capodecina — (Chef de groupe/Capo) Uomo D’Onore — (« Homme d’honneur ») Mafia Japonaise ( Yakusa ): Les yakuza ont une structure semblable à celle de la mafia sicilienne, organisé en familles (ikka). Ils ont adopté la structure hiérarchique traditionnelle de la société japonaise, pyramidale, mais aussi familiale, bien que les membres ne soient pas liés par le sang. Chaque « famille » possède un patriarche, l’Oyabun (親分, littéralement « le parent, le chef », l'équivalent du parrain), aussi appelé Kumichō (組長, littéralement « le chef de clan »). Ce titre se transmet de père en fils, comme une sorte de droit féodal, ou à une personne en qui l'Oyabun a une complète confiance.
Chaque homme accepté chez les yakuza doit accepter ce rapport Oyabun/Kobun, en promettant la fidélité inconditionnelle et l'obéissance à son patron. Toute la structure se base sur cette relation oyabun-kobun.
L'Oyabun, en tant que bon père, est obligé de fournir la protection et les bons conseils à ses enfants. Chacun des deux protagonistes respecte le code du « jingi » (仁義, justice et devoir). Chaque kobun peut à son tour devenir « parrain » quand il le souhaite, tout en gardant son affiliation avec son propre oyabun, et ainsi agrandir l'organisation mère. Le plus proche conseiller de l'oyabun est le Saïko-komon (最高顧問), c'est un poste administratif qui s'occupe de l'état-major (avocats, comptables, etc.). Le saikō-komon dirige ses propres secteurs. Il commande ses propres subordonnés, y compris des conseillers, comptables ou avocats.
Juste en dessous se trouve le Waka-gashira, c'est le numéro deux de la « famille », il est sous les ordres directs de l’Oyabun. Son « petit frère », le Shatei-gashira, est de même rang, mais inférieur en autorité. Il est un relais entre les rangs inférieurs et le numéro deux du clan. Les rangs intermédiaires sont composés des Kyodaï (les « grands frères »), et le bas de la hiérarchie par les Shateï (petits frères), En dehors de la famille, le kumi-in (l'homme engagé) est un exécutant qui pourra peut-être intégré au clan s'il s'en montre digne. Triades Chinoises : Les groupements mafieux se divisent en trois niveaux. Au sommet trône un chef, la « tête de dragon ». Il donne les grandes orientations à son groupe. Peu de membres connaissent sa véritable identité. Sous ses ordres, il y a plusieurs responsables. Ils ont conservé les noms traditionnels des officiers de loge.
L’« Éventail de papier blanc » s’occupe des finances. Le « Bâton rouge », spécialiste en arts martiaux, se charge du respect de la loi interne. La « Sandale de paille » est délégué aux affaires extérieures du groupe. Le « Maître des encens » a la tâche de recruter les membres. Enfin, les membres les plus nombreux sont les « soldats » qui constituent le bras armé de l’organisation. À chaque fonction correspond un code chiffré que l’initié exprime par un simple geste : 489 pour une « tête de dragon », 432 pour une « sandale de paille », ou 49 pour les « soldats ».
L’intronisation d’un nouveau membre répond à une cérémonie particulière. On décapite un coq dont le sang est mélangé à un breuvage alcoolisé. Le futur nouveau membre jure alors de rester fidèle à la société. Puis, il s’entaille un doigt et verse quelques gouttes de son sang dans la décoction préparée. Tous les membres présents trempent leurs lèvres dans la coupe afin de sceller sa promesse. F.B.I ( Federal Bureau of Investigation ) | |
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